GodWarriors - Le Sanctuaire d'Athéna
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 Kuchiki Byakuya

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Antiope

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MessageSujet: Kuchiki Byakuya   Kuchiki Byakuya EmptyVen 8 Juin - 20:27

Kuchiki Byakuya n’est pas né en Grèce. Lui et son grand frère Salas son originaire d’Asie. Leurs parents son mort pendant la guerre qui opposait l’empire du seigneur Kumano à celui de Konda, seigneur d’Eiganjo. Ce fut un temps de chaos et de sang. Encore maintenant le simple fait d’en énoncer le souvenir terrifie les survivants.

Sur ordre de leur parent, Kuchiki Byakuya et Salas prirent le dernier embarcadère qui quittait les rive asiatique pour jeter l’encre au port de Vishakhapatnam en Inde. Le pays n’était pas encore touché par la guerre mais les étrangers n’était pas les bien venu en ces temps troublés. Les deux enfants restèrent caché pendant près de deux mois en se nourrissant de déchets et de nourritures volées. Mais les flammes du chaos oriental commençaient à lécher dangereusement la frontière qui séparait l’Inde et la Chine. C’est par une nuit de pleine lune que l’armée du seigneur kumano, dirigée par le general Takeno, foula les terres hindouistes en brûlant tout sur son passage. L’empereur Kumano était sortit vainqueur de la guerre qui l’opposait à l’empereur Konda, mais cette victoire ne lui suffisait pas. Il voyait grand, il voulait étendre son empire au-delà de la chine. L’inde fut incendié, une grande partie des habitants tués et les rescapés réduit à l’état d’esclave.

Kuchiki Byakuya et son frère étaient parti chercher de quoi se nourrir. Ils furent piétinés dans la bataille. Kuchiki Byakuya sentit un liquide chaud couler sur son visage. C’était du sang, mais pas le sien. Il ouvrit les yeux et vit Salas couché sur lui, la bouche ensanglantée. On pouvait lire dans ses yeux la terreur d’un jeune enfant face à un tel carnage. Une dernière larme coula de son visage et alla se déposer sur le front de son petit frère, qui désormais devra se débrouiller seul.

Un cri…..des larmes….une douleur….plus rien….[/i]


- Kuchiki … Kuchiki … Kuchiki ... Debout c’est l’heure ! Prend ton petit déjeuner qui se trouve sur la table et viens me rejoindre dehors dès que tu auras fini.

Deux ans s’était écoulé après cette terrible nuit. Un vieil homme avait trouvé Kuchiki Byakuya évanoui sous les décombres et l’avais emmener avec lui dans un des derniers chariots qui partait pour la Grèce. Ils s’installèrent dans un petit chalet qui se situait dans les collines bordant Marathon, un petit village à quelques kilomètres d’Athènes. C’est là que Kuchiki Byakuya, après son réveil, commencera son entraînement avec le Maître Nagao. Kuchiki Byakuya était resté inconscient pendant près de 1 mois, c'est-à-dire pendant tout le voyage depuis l’Inde. Il était impossible de lui faire manger quelque chose, mais on lui administrait une quantité journalière d’eau nécessaire à sa survie. Maître Nagao avait été très surpris de la résistance de cet enfant qui avait à peine 6 ans. Kuchiki Byakuya se réveilla 3 jours après qu’ils aient franchi la frontière grecque.

Kuchiki Byakuya sa leva, les yeux encore fermer et sa dirigea vèrs la petite table de la pièce voisine. Maitre Nagao, comme tout les matin, lui avait préparé un bol de riz chaud. Kuchiki Byakuya se pressa de finir son déjeuner et sorti du petit chalet pour aller le retrouver comme ce dernier lui avait demandé. Maitre Nagao était assit près de la rivière. Kuchiki Byakuya s’installa à coté de lui sans dire un mot. Il prit soin d’adapter la même position que son maître et resta là sans bouger pendant plusieurs heures.

Ce fut Kuchiki Byakuya qui brisa le silence en premier…

-S’il vous plait maître, racontez-moi encore mon enfance.

- Kuchiki Byakuya …tu es bien trop distrait…concentre toi sur ton entrainement si tu veux devenir un chevalier !

-Mais j’ai besoin de savoir ! Pourquoi vous ne voulez jamais répondre à mes Question ?

- Kuchiki Byakuya …la seule personne capable de répondre à tes questions…c’est toi.

-Moi ? Mais comment ?

Maître Nagao ne répondit pas…. Voyant bien qu’il n’aurait aucune réponse, Kuchiki Byakuya esseya malgré lui de se concentrer et de faire le vide dans son esprit.

Depuis son réveille Kuchiki Byakuya ne se souvenait plus de rien… De vague images lui apparaissait dans son sommeil ainsi que des cris…les cris de son frère. Maitre Nagao lui avait raconter où il l’avait trouvé et comment lui et d’autre villageois s’étaient enfui de l’Inde pour venir se réfugier en Grèces. Kuchiki Byakuya montrait une grande attention à ce que lui disait son maître. Surtout quand il lui parla des Guerre qui faisait rage en Orient. Kuchiki Byakuya ressentait une grande haine en lui. Il savait que c’était de la faute de ces empires si son frère était mort.

Une nuit, alors que Maître Nagao était sortit méditer dans la forêt, Kuchiki Byakuya prit des provisions dans un sac et s’en fut du chalet. Une seule chose l’importait à présent… Venger son frère. Il prit le chemin des collines sombres et marcha pendant plus de 2 jours. Sa rage le poussait en avant. Mais il n’avait que sept ans…Que pouvait faire un gamin face à une armée assoiffée de sang ?


*Où vas-tu ?*

-Ils doivent payer ! Assassins !

*Que comptes-tu faire ? Tu n’as que sept ans. Tu cours à une mort certaine… *

-A quoi sert de vivre si je dois souffrir ? Il se laissa tomber sur le sol, les yeux ruisselant de larmes.

*La souffrance fait partie de la vie Kuchiki Byakuya, c’est elle qui nous rappel à jamais qui nous sommes et qui nous permet de ne jamais oublier les personnes qui nous étaient chère. Mais nous ne devons pas nous laisser enivrer par elle sinon notre rage nous conduirait à notre perte…*

Cette voie résonnait dans sa tête. Elle était calme, douce et réconfortante à la fois. Il la connaissait. C’est cette même voie qu’il avait entendu un an plus tôt alors qu’il était inconscient sous les décombres. C’est aussi cette même voie qui, depuis son réveille, avait prit soin de lui…

-Maître…aidez-moi…Et il s’évanouit


C’est après cette nuit que Kuchiki Byakuya décida de devenir Chevalier. Maître Nagao lui avait beaucoup parlé des légendes de Guerriers et de Dieu. Chacun se battant pour leurs idéaux. Kuchiki Byakuya voulait en apprendre plus, toujours plus. Et un jour son maître lui raconta l’histoire de la déesse Athéna, de son amour pour les hommes bon ou mauvais. Ils fut très ému mais ne comprenait pas comment un être si pure était prêt à se sacrifier pour sauvez les autres ? Eux qui sont si mauvais et arrogant…

Pendant près de 2 ans, son entraînement consistait à la méditation. Maître Nagao disait que la concentration aidait au développement spirituel et par dessus tout…au cosmos. Kuchiki Byakuya s’impliquait beaucoup dans ses exercices mais ses pensées étaient souvent troublées par des images de feu, de guerre, de sang et il pouvait entendre les cris des personnes massacrées par de terrible soldat en armure. Mais cette fois-ci s’était différent, il les entendait mais il avait l’impression de pouvoir les toucher. Son regard croisait le leur et le leur le sien, comme s’ils le voyaient.

Un léger sifflement fendit l’air et s’éteignit dans un bruit sourd comme un flèche atteignant sa cible.

Les images dans la tête de Kuchiki Byakuya se brouillèrent et laissèrent place à un d’autres images. Celles d’une clairière ou deux personnes, un homme âgé et un jeune enfant, étaient assis près d’une rivière. Une rivière bleue…non ! Rouge. Il vit de longs filets pourpres s’écouler dans le courant de liquide bleu pour ensuite disparaître dans l’horizon.

Deux grandes mains le saisirent violement. Kuchiki Byakuya ouvrit les yeux et eu juste le temps de voir son maître étendu sur le ventre avec une flèche dans le cou avant d’être emporté par les inconnus. Ils étaient au nombre de cinq. L’un d’entre eu était imposant et avait un visage creusé par les cicatrices.

-Piller tout ce qu’il y a à piller ! Critos dépose le garçon ! L’homme qui tenait Kuchiki Byakuya le laissa tomber violement sur le sol et alla rejoindre les autres dans le petit chalet.

Kuchiki Byakuya ne comprenait pas ce qui se passait. Maître Nagao était mort. La derniere personne sur qui il pouvait compter venait de s’éteindre tout comme son frère. Et maintenant il se retrouvait à nouveau seul.

*C’est pour des gens comme eux que tu es prête à te sacrifier Athéna ?* Pensa Kuchiki Byakuya alors qu’une haine encore plus grande grandissait en lui. Une haine dirigé vèrs les hommes mais également vèrs Athéna...


Kuchiki Byakuya se mit à genou. L’homme aux immenses bottes noires le prit par le cou et l’éleva d’une seule main à hauteur de son visage.
-Comment t’appels-tu ? Demanda-t-il en essayant d’adopter un ton poli

L’odeur fétide qui sortait de sa bouche (si pareille chose pouvait encore porter ce nom) sentait la mort et le sang. Sa lèvre supérieure était presque qu’inexistante. Celle du dessous était ouverte en son sein et la cicatrice avait été raccordée avec du fil barbelé.

-Ce vieux fou ne t’a donc pas appris les bonnes manières ? dit l’ogre d’un ton menaçant.

Pour toute réponse, Kuchiki Byakuya lui cracha au visage. Il regretta vite son geste. L’homme le lança violemment à plus de dix mètres et atterrit non loin de la rivière.

La tête de Kuchiki Byakuya heurta violement un rocher. Il se remit difficilement debout. Sa vision commençait à se troubler mais résista pour ne pas sombrer dans l’inconscient.

-Tu es courageux petit homme. Peut d’homme aurait oser faire ce que tu as fait. Mais sache que celui qui me déshonore de la sorte doit le payer de sa vie.

Kuchiki Byakuya ressentit une douleur atroce dans le ventre et roula sur plusieurs mètres. La rivière ne se trouvait plus très loin à présent et une lueur d’espoir commençait à briller en lui. Mais elle fut vite éteinte quand la réalité le rattrapa. Comment aurait-il pu s’enfuir, il ne savait même pas nager. Mais il fallait choisir, la mort ou….la mort.

L’homme se rapprochait de plus en plus et Kuchiki Byakuya était toujours cloué au sol par la douleur. Une peur immense commença alors à s’emparer de lui. Son corps tout entier tremblait. Il ne voulait pas mourir, il ne voulait pas perdre à tout jamais le souvenir de son maître et de son frère.

A présent, l’homme se trouvait devant lui. Il souriait du haut de sa masse, se délectant déjà du goût de la chair et de la chaleur du sang. Il avait déjà tué un grand nombre de gens. Hommes, femmes, enfants et à chaque fois il en tirait un grand plaisir. Il leva son immense botte noire…

Kuchiki Byakuya évita le coup de justesse, lui épargnant une mise à mort écrasante. Mais il ne pu éviter le deuxième . Pour la seconde fois il ressentit une douleur insupportable dans le ventre. La violence du choc le projeta dans la rivière. Il eu juste le temps de jeter un dernier regard vers son maître et vers le petit chalet qui l’avait abriter avant d’être emporter par le courant.


Dernière édition par le Sam 10 Nov - 19:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Kuchiki Byakuya   Kuchiki Byakuya EmptyVen 8 Juin - 20:28

Etendu de tout son long, il dort. Le sourire sur son visage trahit les événements qui se sont produit il y a peu de temps. Bercer par la douce brise du matin, il rêve. Léger comme une plume, il vole. D’un coté à l’autre, il saute. Ne se préoccupant nullement des gens qui passe à coté de lui….Son attention est porté plus loin, dans cette direction. Il avance doucement, tendant la main pour la saisir mais elle s’éloigne…toujours. Il l’observe, elle l’observe….Tout ces gens, où vont-ils ? Sans imprudence, il s’élance….mais trébuche…mais sur quoi ?...Elle s’éloigne….

Fatigué, il s’assit…elle s’approche. Il tend la main mais elle s’éloigne…Tout ces gens, où vont-ils ?

A son cou, une clé…près de lui, cette porte…sur cet arbre, un oiseau…près de la, un crapaud…une pensée, une larme…doucement il s’éloigne…

Shaka ouvrit les yeux. La lumière lui brûlait les yeux. Où était-ils ? Il se rappela l’attaque au chalet et son maître étendu mort sur l’herbe, près de la rivière…la rivière…elle l’avait emportée sur près de deux kilomètre. Il avait échoué prêt d’un pont flottant, où se trouvaient un homme et sa petite fille qui pêchaient. Ceux-ci l’avaient emmené dans leur petite maison située sur le haut d’une colline.

Shaka se mi difficilement debout. La douleur qu’il ressentait dans les cotes le fit se rasseoir…

-Papa papa il est réveillé ! Le garçon est réveillé !

Dans l’encadrement de la porte se tenait une petite fille âgée d’environ 10 ans. Elle regardait Shaka avec insistance et de légères pommettes roses commençaient à se dessiner sur ses petites joues.

-Où suis-je ?

La petite fille ne lui répondit pas…elle le regardait toujours. Un homme massif apparu derrière elle.

-Ha on croyait que tu ne te réveillerais jamais ! Comment te sens-tu ?
-Où suis-je ?
demanda Shaka.
-Je m’appel Altor et voici ma petite fille Calen. Tu te trouves dans la maison que j’ai hérité de mes parent. Mais nous discuterons plus tard, tu dois mourir de faim. Rejoins-nous dehors, Calen et moi avons préparé un bon repas.

Shaka s’appuya sur le rebord du lit et fini par se lever pour aller s’asseoir à leur table….une table que shaka n’avait jamais vu…il y avait toutes sortes d’aliment…en fait bien trop pour seulement trois personne pensa Shaka .

Ils passèrent ainsi plusieurs heures à manger et bavarder. Shaka se montra d’un très grand appétit. Calen le regardait toujours en gloussant et lui tapait dans les jambes pour le taquiner. Mais shaka ne trouvait pas ça très drôle…

La nuit vint assez tôt…et déjà le sommeil l’emporta vers le monde du rêve… ce rêve….il se retrouva encore une fois dans cet étrange endroit ou une flopée de gens se dirigeaient toujours vers la même direction….



Ce rêve, shaka n’en découvrira jamais la signification…en tout cas pas tout de suite. Il était persuader que quelque chose se cachait derrière cette porte…mais quoi ?

Six ans s’écoulèrent sans que rien ne vienne perturbé sa nouvelle vie. Il avait enfin trouver un endroit où il se sentait en sécurité et aimé. Un matin, alors que les oiseaux chantaient et volaient haut dans le ciel, shaka se réveilla avec une drôle de sensation… *serait-ce ça la bonheur ?* Pour rien au monde il ne voulait changer quoi que ce soit…mais le destin en avait apparemment décidé autrement…

Shaka malgré la perte de son maître tenait à continuer à son entraînement. Mais il ne savais plus très bien pour quel idéal il combattait…il était perdu….mais le souvenir de son frère le poussait en avant, le poussait a continuer et à toujours dépasser ses limite.


Calen supportait assez mal que Shaka passait plus de temps seul qu’avec elle, alors elle décida de s’entraîner avec lui…c’est ainsi que tout deux commencèrent a ce rapprocher et un jour, alors qu’ils faisaient la course sur le flan de la colline, Calen tomba et se blessa le bras droit. Shaka la porta jusqu’à la petite maison et prit soins de lui préparer ses soins. Se qui allait se passer par la suite, il ne s’y était jamais préparer…Calen lui prit le bras et lui déposa un baiser sur ses lèvres…

Ainsi shaka connu l’amour….et pour la première fois de sa vie, le semblant de haine qui l’habitait s’envola, emportant avec lui sa fureur envers les hommes et…Athéna.



*Je comprends enfin les paroles de mon maître …comment ais-je pu me laisser aveugler par ma rage ?… L'amour m'a rendu la vue et a présent je peux admirer la beauté de ce monde !*

C’est à partir de ce moment que shaka se jura de combattre au nom de l’amour et de la justice, au nom d’Athéna.

Le jour des seize ans de shaka ne tarda pas à montrer le bout de son nez. Dehors, le soleil brillait de mille éclats et il n’y avait presque pas de vent. Il était presque impossible de rester à l’intérieur des habitations. Seul l’ombre des arbres permettait de ne pas être assommé par cette chaleur écrasante.

Shaka était parti chasser le gibier dans la foret et décida de faire une pose à l’ombre d’un bosquet non loin de l’endroit où il se trouvait. Il sombra alors dans cet étrange rêve qui n’avait plus refait surface depuis quelque temps déjà.


*Cette fois-ci j’ouvre cette porte * pensa Shaka un peu agassé.

A son grand étonnement, la porte n’offrit aucune résistance…elle se tenait la…demandant presque à être ouverte…Shaka prit la clé qui pendait à son cou et se tenait prêt à l’introduire dans la serrure...mais quelque chose n’allait pas. L’endroit étaient vide, plus personne…Ou sont tout les gens ?...il n’y avait pas qu’eux qui avaient disparu, mais tout ! il n’y avait plus rien, juste la porte, entourée par le vide sideral...

Face à cet inconnu angoissant, shaka était paralysé. Il n’était plus sur de vouloir vraiment ouvrir cette porte…mais la curiosité l’emporta…il glissa la clé dans la serrure…trois tour à droite…click !...Il prit la poignée et tourna. Il entrouvrit légèrement la porte…un cri…CALEN !!!!

Il ouvrit les yeux et entendit calen crier à nouveau. Il n’avait pas rêver…il s’élança dans la direction de la maison...elle s’emblait si loin…Pourquoi c’était-il endormit ? Pourquoi n’était-il pas rentré tout de suite après la chasse ? Si il arrivait quelque chose à Calen il ne pourrait jamais se le pardonner…il pouvait presque la toucher….mais elle était encore loin…il tendit la main et arriva derrière la petite maison.

Mais personne ne s’y trouvait. Il poursuivit donc sa course dans la partie nord de la foret. Il était sur le point de passé les premier bosquet mais trébucha sur ce qui semblait un corps…vu la hache planter dans le crâne il devait être mort… Shaka s’élança à nouveau mais légèrement troublé. Il lui semblait avoir déjà vu ce visage quelque part…

Il ne mit pas longtemps à les retrouver…Il était à présent dans une clairière. Altor se débattait tendis que trois hommes essayait de le maitriser et de le ligoter à un rocher.Claren, elle, semblait inconsciente sur le sol...


Altor:-Shaka! Sauves-toi! Ils... mais shaka n'entendra jamais la fin de sa phrase. Un des hommes, le plus bourru, lui avait trancher la tête à l'aide d'une hallebarde.

-Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan

Shaka crut à un cauchemar. Complètement tétanisé, il tomba à genou. Pourquoi devait-il toujours voir les personnes qu’il aimait mourir devant ses yeux ?

-Tien tien voila le prince charmant qui vient sauver sa princesse ! dit l’homme imposant…

L’ombre des arbres cachait son visage mais son odeur, elle, aurait pu être sentie à plusieurs lieu d’ici. Cette odeur, Shaka la connaissait, tout comme le visage de l’homme mort sur lequel il avait trébuché un instant plus tôt. L’ogre s’avança vers lui, quittant ainsi son masque d’ombre pour révéler sa laideur au jour.

-Je n’oublie jamais un visage, saches-le ! Et j’ai pour habitude de tenir mes promesses…Dit-il en lançant la tête décapitée qui roula aux pieds de Shaka.

Il baissa la tête, contemplant le visage de l’homme qui l’avait accueillit et qui avait prit soin de lui avec tant d’humanité…il était comme un père pour lui.

*Même dans la mort tu restes digne. Tu es mort en homme libre, en combattant et en domptant ta peur* …une rage nouvelle s’éveilla alors en lui, une rage qu’il n’avait jusqu’à ce jour encore jamais ressentit. Il se leva et fit face à son adversaire… * moi aussi j’affronterai la mort, en homme libre et sans peur*

Quelque chose brûlait en lui, quelque chose qui lui était inconnu, quelque chose qui l’emplissait de force, quelque chose de grand.

Il vacilla…il pensait qu’il allait exploser tellement cette chose l’emplissait…ces yeux le brûlaient, son corps lui paressait tellement étroit…
*Que m’arrive-t-il ?*

*Je suis fière de toi Shaka, enfin tu y es arrivé…*
*Maître ?*

L’attaque fut rapide… la hache en avant, l’ogre s’élança dans sa direction…Shaka prit au dépourvu n’eu qu’une seconde pour reprendre ses esprits. Le choc fut rapide mais violent...

Shaka saignait au bras droit…l’ogre était à terre, inconscient…derrière, le doute s’installait. Le chef tombé, les sbires s’enfuirent en désordre dans la forêt.

Debout devant l’immonde masse, il prit la hache…mais ne frappa pas. Pourquoi ? Par pitié ? Peut être…Mais pourquoi ? Ce monstre avait tué son père adoptif de sang froid et sans remords…alors pourquoi ne le tues-tu pas ?

Une bataille commença alors dans la tête de Shaka…


*Je ne suis pas un assassin, je ne veux pas être un assassin !*
*Mais il l’a tué ! Tues-le !*
*Non je ne veux pas, je ne peux pas !
*Tues-le !*
*non !*
*Tues-le !!*
*Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !*

Shaka tomba à genou… *Je ne suis même pas capable de tuer un homme !*

Ce que Shaka désirait le plus à cet instant, plus que tout autre, c’était une épaule. Une épaule sur laquelle se reposer et être réconforter…il voulait mourir, abandonner cette vie de souffrance et de malheur…c’en était trop…

A terre, une ombre…une grande ombre…un bruit métallique…un coup…un cri…un corps tombe…le sang coule…son sang, à elle…un deuxième coup…un bruit sourd…un autre corps tombe…


Shaka se précipita vers le corps de Calen et pressa sa main contre sa blessure. Elle semblait gravement blessée.

-Ne t’inquiète pas je vais te soigner. Dit il, en essayant de la soulever pour l’amener à la maison.
-Non Shaka. Il est trop tard…
-Non ne dit pas ça…je ne veux pas te perdre…pas toi ! Ses yeux s’emplirent de larmes
-Je ne veux pas que tu pleure Shaka…dit-elle avec un sourire

Mais la douleur que ressentait shaka était si forte que même avec la plus grande force au monde, il n’aurait pu stopper les larmes qui ruisselaient sur ses joues.

-Shaka tu as tellement souffert…je suis désolé. Tu ne mérites pas d’être aussi malheureux…

Elle prit la main de Shaka et y déposa un baiser.

-Pourquoi t’es-tu interposée ?
-Shaka…
-Pourquoi t’es-tu interposée ?
-…je t’aime…

C’est ainsi que s’éteignit Calen, le seul et unique amour de Shaka. Il déposa un dernier baiser sur ses lèvres et la déposa à coté du corps de son père

Lassé de courir après la vie… après le bonheur… shaka se tient au milieu de la clairière, à nouveau seul. A peine 16 ans et déjà brisé. Une seule pensée le hante à présent, rejoindre ceux qu’ils aiment. Alors il court, il court, pour essayer de semé derrière lui cette vie. Il court il court mais on ne sait où…

-Vous m'avez l'air bien pressé jeune homme!

Shaka stoppa sa coursse... il se trouvait à présent dans un nouvel endroit, encore inconnu à ses yeux. Des rues s'étendaient à perte de vue et le sol, lui aussi était différent...les feuilles mortes et l'herbe de la montagne avaient laissé place à des dalles...de grandes dalles...shaka ne pu que s'émerveillé devant la splandeur d'Athène...la grande cité...

Shaka sentit une légère douleur dans la jambe gauche...un viel homme assi sur un tabouret lui tapait la jambe avec sa canne...

-Vous m'avez l'air bien pressé jeune homme! Où courrez-vous comme ca?
-Si seulement je le savais...
-Dans ce cas ta route est tracée, il te faut trouvé la voie sacré!
-Mais de quoi me parler vous viel homme?
-Si tu es égaré, cherche la voix sacré!


Shaka essaya de réfléchir au parole du vieux sage mais les coup de baton dans la jambe ne l'aidaient en aucun point...

-Que cherches-tu jeune homme?
-Je ne cherche rien...il ne me reste plus rien...
-En est-tu sur?
-Je ne...Athéna!

Athéna, voila ce qu'il lui restait à présent...sa foie en la justice et en l'amour...une limière se raluma en lui, une nouvelle force aussi. Il se retourna mais le viel homme avait disparu, laissant le tabouret sans propritaire...

*Cherche la voie sacré! T'as foie mise à l'épreuve, tu pourras lui rendre honneur!*
*...Le sanctuaire!*

Alors de nouveau il court, il court mais à présent il sait où...
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Kuchiki Byakuya
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