La défense d'Athènes et du sanctuaire.

Muichkine éprouvé par ses deux défaites consécutives, songeait en défense du parthénon à son histoire et à son apprentissage au sein du sanctuaire. Il n'avait pas fléchit un instant et en était fière. Quand Pontos, le chef des armées lui demanda d'intervenir dans l'invasion programmé du fief des anges, il s'exécuta sans fléchir ni réfléchir à ce qu'il pouvait lui arriver... La défaite qu'il essuya une fois de plus, le rendait perplexe sur sa valeur mais son orgueil de Spartiate reprenait le dessus. Il venait d'apprendre de nouvelles techniques et savait qu'il lui faudrait du temps pour les digérer et les maîtriser. Campait sur une des marches du Parthénon, il allait pouvoir continuer son apprentissage de jeune chevalier et ne tarda pas à voir arriver sur lui, un ange audacieux et de bonne allure qui lui fît signe.

- Prépares toi Muichkine !

* Quelle verve et quel aplomb ! Pensa Muichkine

Il apprit par le chuchotement d'un compagnon d'arme, qu'il s'agissait d'Anubis, une jeune recrue des anges très méritante et avec un avenir glorieux certain.

- Je suis prêt, Anubis !

Le combat dura quelques temps et fût la victoire qu'attendait Muichkine. Une victoire sur le fil car son ennemi était très fort. De très loin plus fort que Muichkine. Mais la valeur de Muichkine résidait dans son entêtement et à aucun moment n'avait semblé résigné durant le combat. Il avait aussi bénéficié durant le combat de conseils télépathiques tactiques de l'oracle Calian, qui l'avait déjà soutenu durant le combat au temple de zeus et de son chef des armées Pontos. S'il n'avait pas reçu ces soutiens, Muichkine courrait à une défaite certaine.
Après un passage au temple pour méditer et panser ses blessures, Muichkine reprit une place dans la défense du sanctuaire. Il sillonnait du regard ces compagnons d'armes et pu reconnaître dans l'assemblée proche de lui mais encore de dos, Guilgamesh. Il sourit et fût content de trouver le petit chef du litochoro en défense à quelques mètres de lui.

- Guilgamesh ! Cria t'il, sans le perdre de vue.

[HRP=On se fait un RP, si j'ai compris, Muichkine ! Une seule chose, Guilgamesh n'a pas encore d'armure de garde. J'attends qu'on me fasse signe pour qu'on me la donne en RP ou de trouver un truc. Merci de rectifier.]

- Guilgamesh !

Guilgamesh leva la tête, surpris. Ce nom lui était familier... La voix qui avait crié son nom l'était aussi. Sans sortir du rang, il se retourna pour constater que c'était bien Muichkine, derrière lui. Il lui répondit en levant la main et en l'agitant de droite à gauche :
- Muichkine, mon ami ! Ne bouge pas, j'arrive !

Il se déplaça vers le nouvel apprenti qu'il avait rencontré au Litochoro.
- Comment ça va, l'ami ? Lui demanda-t-il.
Et avant même d'avoir une réponse : Regarde... J'ai ramené quelque chose pour toi...

Il entrouvrit son châle. Un magnifique instrument s'y abritait. En le voyant, Muichkine avait très certainement reconnu sa lyre.
Guilgamesh souriait... Il attendait la réaction du musicien.

[HRP= juste une petite intrusion dans ton rp lol, je vais pas t'envahir !]
- Regarde... J'ai ramené quelque chose pour toi...
Les yeux de Muichkine s'emplirent de larmes et il prit Guilgamesh dans ses bras. Il venait de reconnaître l'instrument de Pallas dans les mains de son jeune ami qui l'avait délicatement enveloppée pour qu'il ne subisse aucun choc pendant son déplacement. L'accolade dura quelques instants et Muichkine reprit ses émotions.

- Quel plaisir de te voir ici ! Tu es retourné au litochoro et tu a pensé à prendre ma lyre, merci mon ami !!! . Dis moi que tout va bien là bas et que les habitants réussissent à maintenir la paix...

[HRP=Tu ne m'envahis pas, au contraire, j'apprécie.]

Visiblement, revoir sa lyre faisait vraiment plaisir à Muichkine. Guilgamesh fut encerclé dans les bras du musicien. Il avait été plutôt gêné de cette marque de familiarité dont il n'était guère coutumier. Il n'avait pas su quoi faire au début. Comme cette étreinte durait longtemps, il fini par prendre aussi Muichkine dans ses bras. Et ce, jusqu'à ce que ce dernier se remis de ses émotions, remercia Guilgamesh et lui demanda des nouvelles du Litochoro.

Guilgamesh était devenu rouge écarlate. Il restait gêné devant tout le monde. Malgré cela, il était bien content. Il répondit :
- Hum... Mais, je t'en prie, ce n'est rien...
Puis, pour oublier sa gêne et d'un air malin :
- Le Litochoro se porte plutôt bien. La vie semble avoir repris son cours. L'autel est toujours bien entretenu et les habitants continuent d'adorer Athéna. Mais si tu souhaites en savoir plus, je te conseille d'en parler à celle qui m'a confié cette lyre...
Voyant que Muichkine devait s'interroger sur cette dernière phrase, comme il l'espérait, le petit roi précisa :
- Elle m'a beaucoup parlé de toi... Comment elle te soignait au Litochoro, la façon qu'elle avait de te regarder dormir à l'infirmerie... D'ailleurs, je suis sûr qu'elle a décidé de faire partie des guérisseuses des thermes et de donner la soupe aux gardiens, le soir, rien que pour te revoir...
Guilgamesh avait fini sa phrase par un clin d'œil. Il regarda un coin de la défense d'où le soleil se couchait et dit encore :
- Certains villageois du Litochoro ont décidé de devenir des serviteurs, à Athènes, pour remercier notre déesse. D'autres ont même été escortés par des gardes jusqu'au sanctuaire...
Guilgamesh jubilait en souriant :
- Ta lyre n'es pas la seule qui te soit revenue du Litochoro...

- Ta lyre n'es pas la seule qui te soit revenue du Litochoro...

Muichkine était songeur... Il pensait à la jeune fille qui pansait ses blessures, et qui avait prit soin de respecter son engagement en gardant la lyre avant son retour. Mais, lui n'avait pas tenu le sien ! ... il n'était pas revenu au Litochoro, elle pouvait toujours l'attendre! Muichkine tressaillit.

* Elle doit être furieuse... Je dois laisser un peu de temps passé... Sinon...Vu son caractère...Je risque fort de m'en prendre une...

En prenant quelques pincettes, il essaya d'en savoir davantage. Une goutte perla de son front quand il prit la parole devant Guilgamesh.

- Heuu... (avec beaucoup d'hésitation)... Dis moi Guilgamesh... Elle, je veut dire l'infirmière... Elle ne ... Tu ne l'a pas senti ... enfin ... tu penses qu'elle est furieuse ?...
Il n'était pas dans ces habitudes d'avoir autant de mal à parler, mais là... c'était plus fort que lui... Les mots glissaient mal et s'accrochaient dans sa bouche.
Avec un certain labeur Muichkine finit sa question et se sentit très idiot.

Guilgamesh resta surpris par la question de Muichkine. La façon qu'il avait de balbutier en était à la fois touchante et cocasse.

Voyant que Muichkine était très sérieux, le petit roi se mit à rire :- Ha ha ha ha ha ! Furieuse ? Elle n'est pas furieuse ! Elle est amoureuse, andouille ! - Secouant la tête d'un air de dire "ha la la" - Ah Muichkine...
Puis, changeant de ton :
- Et puis, toi aussi, non ?

Il ne lui laissa pas le temps de répondre :
- De toutes façons, je ne sais rien de plus. Je l'ai rencontrée à mon retour. Elle était conduite par les gardes. Elle n'a pas arrêté de me parler de toi. Elle venait te donner ta lyre. Elle me l'a confié, sachant que je te verrai sans doute avant elle. Ensuite, elle m'a dit qu'elle serait serveuse ou soigneuse dans les thermes du sanctuaire, si les oracles acceptent. Maintenant, il faudra lui demander si elle t'en veux de quelque chose... Enfin, peut-être pas maintenant, car je vois quelqu'un qui te nargue. Tu devrais lui répondre en lui montrant ce que sait faire un chevalier.

En effet, au loin, un ange tirait la langue en direction du musicien. Ce geste provocateur ne pouvait pas rester impuni.

Muichkine laissa Guilgamesh en lui faisant un signe. Le petit roi lui répondit par un signe de la main. Il ferma les yeux, se baissa légèrement et sa main fit comme s'il l'invitait à y aller, d'un air de dire "mais je t'en prie, vas-y".

Guilgamesh reprit sa position initiale. De là où il était, il pouvait voir le combat de celui qu'il respectait assez pour pouvoir peut-être l'appeler un jour son ami. Mais il n'avait jamais osé appeler quelqu'un d'autre que Enkidou de cet adjectif-là.

Le roi d'Ourouk regardais donc le combat. Il écarta les yeux et fut impressionné par le changement de Muichkine.

* Mais c'est qu'il a bien progressé ! Pensa-t-il. * Ce n'est plus le même...

Il sourit alors que Muichkine développait sa tactique et qu'il ne pouvait le voir. Il bougea la tête de haut en bas et se dit :
* Oui. Il s'est avancé prudemment. Pas comme dans ses premiers combats. Il se méfie de ses adversaires, maintenant. C'est bien. En même temps, il reste concentré et prend son assurance pendant le combat... Il a bien évolué. Ses entrainements et ses erreurs ont enfin payés. Il se bat comme un chevalier...

Mais Muichkine restait un apprenti. Guilgamesh vit l'armure de l'adversaire voler en éclat. Il ne pu retenir un hourra pour Muichkine :
- Bravo, Muichkine ! - Et se ravisant - C'est très bien apprenti, mais reste dans ta vigilance.

En effet, l'adversaire n'avait perdu que son armure. Allait-il se relever pour continuer ou s'enfuir, trop blessé ?

Il existait une force en Muichkine que lui même exploitait de manière inconsciente. Elle n'avait pas de limite mais existait parce qu'il se battait pour une cause juste. Il savait que l'enseignement d'apparence passif que lui prodigué son maître Volo avait un sens. Sans être oppressant et apparaissant de manière intelligente au moment important, ce guide avait su trouver valeurs et raison aux yeux de Muichkine. Il avait comprit depuis longtemps que cet enseignement n'avait pas de prix. Depuis le début de son apprentissage plusieurs âmes l'avaient épaulé pendant ses moments de doutes et de souffrance aussi Calian, Pontos, Enkidou et Guigamesh et biens d'autres de ces chevaliers émérites confortaient Muichkine dans ces choix et ... avaient su révéler en Muichkine, cette force qu'on appelle l'amitié... Muichkine voyant son adversaire gisant à terre, se retourna, fière de sa victoire et salua d'un geste de la main son ami, qui le regardait.

- Guilgamesh ! Cria t'il. Je crois que cette force qu'on appelle le cosmos vient de ce qui s'anime au plus profond de nous ! Je sens le coeur de nous tous, l'Ami ! De nos frères d'armes qui combattent toujours et de ceux qui attendent fièrement sur ces marches ! Je sens que nous sommes liés de la même passion, de la même foi en notre déesse et en l'amitié !

Muichkine même dans son coeur de spartiate, savait maintenant que l'amitié n'était pas étrangé au cosmos et une goutte de liquide salé coula timidement de sa joue gauche tandis que son adversaire sombrait dans un profond coma.

- Guilgamesh ! Cria Muichkine. Je crois que cette force qu'on appelle le cosmos vient de ce qui s'anime au plus profond de nous ! Je sens le coeur de nous tous, l'Ami ! De nos frères d'armes qui combattent toujours et de ceux qui attendent fièrement sur ces marches ! Je sens que nous sommes liés de la même passion, de la même foi en notre déesse et en l'amitié !

Guilgamesh répondit d'abord d'un ton trop bas pour que le musicien de la lyre l'entende, comme à lui-même :
- Oui, c'est l'amitié et la fraternité qui nous uni.
Puis, plus fort :
- Tu as bien raison l'ami. J'ai l'impression que la lyre que je t'ai rendu te porte chance...

Muichkine pouvait être fier. Guilgamesh l'avait appelé son ami. Seul Enkidou avait eu droit à ce sobriquet. Guilgamesh avait bien appris, au Litochoro. Son devoir et l'abnégation de ses hommes lui avait montré qu'il y avait quelque chose en plus du dévouement envers Athéna.

Mais tellement absorbé par le combat de Muichkine, Guilgamesh n'avait pas remarqué qu'un marina s'était préparé au combat.

Le jeune roi se retourna brusquement vers celui qui lui était hostile.

* Il va falloir que je me montre à la hauteur, devant Muichkine. Pensa-t-il.

Il fit exploser son cosmos, sans arrêt. Son adversaire fit exactement ce qu'il pensait qu'il allait faire. Le marina utilisa une technique qui le mit en position de faiblesse. Il fallait sauter sur l'occasion. Mais la technique avait rendu l'adversaire plus rapide. Alors qu'il le toucha, les coups étaient trop faibles. Quand son adversaire sorti de transe, il augmenta sa puissance à son tour. Mais Guilgamesh continua. Il fallait garder le dessus. Ses chances étaient minimes. Il devait tenter le tout pour le tout. Il réussit à le toucher de temps en temps pour le ralentir. Mais la force du marina devint identique à celle de Guilgamesh.

Alors le jeune roi décida de ne plus faire exploser son cosmos. Il utilisa la technique d'Enkidou : une pluie aiguisée s'abattit sur le marina. Mais, si ça le ralentissait, ce n'était pas encore assez.

Ses yeux était troubles. Il ne pouvait pas toucher facilement le marina. Alors que ce dernier pourrait bientôt le tuer en une fois si ça continuait.

- Si je perd, tu seras trop amoché pour continuer. Tu ne franchiras jamais ces lieux ! Dit Guilgamesh tout haut.

Il pensa très fort à Athéna :
* Athéna. C'est vrai que je prie d'autres dieux. Mais j'ai décidé de défendre ta cause qui est juste. Donne-moi une chance ! Une seule, le moment venu...

Armurerie / L'animal Mystérieux

Excalibur avait depuis longtemps étudié le grimoire, assis sur les marches de l'arène. Il avait enfin relevé la tête pour étirer les muscles du cou.

Il se dirigea devant la défense de la belle cité et vit un marina l'attaquer. Il échoua. Mais, alors qu'il se soignait, il entendu dire qu'un marina s'était infiltré. Il couru au milieu de la défense. En effet, un marina venait de passer. Mais il pouvait facilement être encerclé. N'écoutant que son courage, il se précipita pour bloquer l'ennemi qui avait déjà attaqué un frère d'arme. Quand ce dernier fut vaincu, le marina se retourna et Excalibur reconnu celui qui l'avait vaincu, quelques temps auparavant. Il n'était pas en état de se battre, mais il lui promis qu'il se battraient de nouveau. Le marina s'appelait Thanatos et répondit volontiers au défis.

Excalibur attendit un peu en apprenant à maîtriser à la fois son corps, son environnement, le sol et l'air. Thanatos revint comme convenu. Mais Excalibur ne fut pas encore assez fort. Il se réveilla sur un lit d'hôpital.

Alors, il s'en alla plus loin pour se mettre en harmonie avec la nature. Quand il le sentit, il se mit en défense et affronta un spectre qui forçait le passage. Sa nouvelle technique lui permit de remporter la victoire. Il laissa le spectre retourner se soigner, mais celui-ci le félicita pour ce combat. Il vaincu encore deux ennemis. Puis, un spectre arriva et l'engagea.

Excalibur utilisa la même technique que le spectre et tout à coup, il employa une technique longue à utiliser. Le spectre en profita d'ailleurs pour avoir une très grande puissance. Excalibur tenta tout de même de ne pas se laisser distancer. Il prit un risque et passa à l'attaque.

Le spectre le provoquait. Mais Excalibur restait en harmonie avec ce qui l'entourait. Il fallait qu'il sache s'il maîtrisait ou non la première étape du grimoire !

Le spectre avait fini par enlever son armure. Il s'était mis à exploser. Il ne fallait pas que son énergie soit plus grande que celle du jeune apprenti.
Ce dernier se voyait dans l'obligation d'exploser son cosmos, pour ne pas se laisser avoir. Sa technique était décidément longue. Il réussit cependant à mettre son adversaire en défaut. Tous les coups qu'il recevrait rebondiraient autant de fois que possible, ce qui multipliait les dégâts.
Mais Excalibur était fatigué de cette technique qui lui demandait beaucoup d'effort.
Malgré ses attaques, Excalibur risquait de perdre. Le spectre avait finit par avoir plus de cosmos que lui.

* C'est le moment de voir si j'ai bien appris ce qu'enseigne ce grimoire... Et s'il est de bons conseils... Pensa Excalibur.

Au moment où le spectre attaquait, il plongea en l'air. Par deux fois, il sauta, évitant ainsi les deux attaques de son ennemis. Celui-ci en fut très surpris.
Mais l'apprenti qu'il était, n'était pas encore assez résistant pour sauter ainsi tout le temps. Il devait attaquer en même temps le spectre. Plus le spectre se protégeait, plus chaque attaque rebondissait sur son corps.
Malheureusement, le spectre lui donna un dernier coup qui l'étourdit. Excalibur était encore trop jeune.
Cependant, le spectre lui-même ne pu continuer. Il dû partir car Excalibur l'avait blessé grièvement un peu partout. Même l'armure qu'il avait revêtu à nouveau entre temps avait explosé en morceau.

Excalibur repartit se soigner. En même temps, ainsi couché, il se concentra sur le sol et l'apesanteur.

Il revint la tête haute, persuadé qu'il avait comprit comment sauter le plus haut et le plus précisément possible. Il se sentait en harmonie avec le sol et la terre qui l'entourait.

Enkidou avait aperçu son ami qui se soignait. Il lui parla de Kalinka.
- Tu m'as parlé un jour de celle qui troublait tes jours et tes nuits, Kalinka. Hé bien j'ai trouvé cette vieille lettre.

Guilgamesh fut autant surpris que Volo avait pu l'être en lisant le ton amicale de Kalinka dans cette lettre. Il fronça les sourcils en se demandant si c'était bien elle qui l'avait écrite.
Enkidou lui parla de l'auberge. Il avait l'intention d'y faire un tour.

- Pendant ce temps, il faudrait que tu ailles à Colonne. Volo m'a dit qu'il pourrait s'y trouver. Conclu Enkidou.

Guilgamesh comprit les rapides explications de son ami. Il n'éprouvait plus ces sentiments pour Kalinka qui l'avait troublé naguère. Mais si quelque chose pouvait faire de Kalinka une alliée, il fallait tenter le coup. Il fit oui de la tête, mais s'interrompit. Il venait de remarquer la cape blanche.

- Mais qu'est-ce que c'est que cette cape ? Demanda-t-il intrigué.
Enkidou se gratta le dos de la tête, et un peu gêné, répondit en souriant.
- Ah oui, c'est vrai que je ne t'en ai pas encore parlé. C'est récent. Les oracles ont accepté que je sois diplomate d'Athéna.

Guilgamesh eut une petite hésitation avant de répondre. Finalement il sourit.
- C'est bien toi, ça. Tu me surprendras toujours. C'est bien que ce soit toi, ça te ressemble.
Il réfléchit un instant. Il restait un soucis :
- Le seul problème, c'est qu'il y a besoin d'aide pour l'instant, ici. Il faut que je reste encore un peu.

En effet, les ennemis étaient encore trop nombreux pour quitter la défense.

Les Jardins Sacrés / Mais pourquoi Kalinka est-elle si méchante ?

Il fallait donc d'abord assurer une défense solide. Alors que Guilgamesh et Enkidou discutait, un ennemi s'approchait.

L'ennemi possédait une grande résistance. Mais la chance était pour lui. Il finit par le repousser.

Ensuite, ce fut une ange qui passa. Cette fois-ci, Enkidou n'avait pas autant de chance. La résistance de l'ange était pire que le précédant adversaire. La seule chance qu'il pouvait avoir, était cette technique qu'il avait utilisé, lors de la bataille contre Héra. Mais l'ennemie prenait le pas sur les attaques. C'était fini. Enkidou allait perdre. C'est alors qu'il entendit une voix. Quelqu'un voulait qu'il attaque directement. C'était de la folie. Mais sachant que ça ne pouvait être que son maître qui lui prodiguait ses conseils, encore et toujours, il se dit qu'il n'avait rien d'autre à perdre ? Enkidou donna tout ce qu'il pouvait et son adversaire ne résista pas.

Mais ce n'était pas tout, un autre ange arriva. Il employait les même techniques, mais de façons plus précises. Enkidou n'avait pas le choix. Comme contre Acheledon, il devait se concentrer et oublier sa protection.
Il réussit à affaiblir son adversaire, mais le temps lui manquait. Comme précédemment, il attaqua d'un seul coup. Son adversaire tomba. C'était un miracle.

L'ange se releva et le félicita. Ils échangèrent des regards remplis de respects. Chose étrange, l'ange lui dit que la prochaine fois, il voudrait bien le voir exploser son cosmos plus que ça. Enkidou savait qu'il avait raison et que la victoire n'avait tenue qu'à un fil. Ils se quittèrent. Enkidou regarda autour de lui. La défense allait mieux.

Il se dirigea vers Guilgamesh :
- Allons-y, maintenant. Le temps est venu de savoir ce qui s'est passé avec Kalinka quand elle était à l'auberge.

Enkidou se dirigea vers les vestiges de l'auberge, tandis que Guilgamesh irait à Colonne.

Hors des enceintes - Lieux divers / Mais pourquoi Kalinka est-elle aussi méchante ? Retour à l'auberge.

La défense était à nouveau correcte. Guilgamesh pouvait partir l'esprit tranquille.

Il partit à la recherche de l'aubergiste, à Colonne.

Hors des enceintes - Lieux divers / Colonne. Mais pourquoi Kalinka est-elle aussi méchante ?

L'Arène / Les débuts de l'apprenti Étana.

Les pas de l'apprenti Étana l'avait conduit jusqu'à Olympie. Là-bas, pendant une attaque contre les anges, il avait réussi à approcher le temple de Zeus. Mais un puissant guerrier de Zeus l'avait menacé. Il avait dû fuir.

Alors qu'il retournait au sanctuaire, un spectre l'engagea. Sa technique était puissante, mais Étana su instinctivement ce qu'il fallait faire pour ne pas perdre. Après avoir mis le spectre hors d'état de nuire, un rebelle qui l'avait vu lui proposa un combat.

Si la chance lui avait souri contre le spectre, cette fois-ci, il n'eut pas le dessus. Le rebelle le laissa à terre.

Un autre spectre le blessa dangereusement. Il fallait retourner se soigner. Les thermes étaient très curatives. C'est donc là-bas qu'il se rendit.

Thermes : carpe diem / Un nouvel appel.

Excalibur devait à nouveau se battre contre un adversaire redoutable. Ce dernier était bien plus puissant que lui. Mais il devait continuer. L'ange qu'il avait en face de lui aurait pu, aurait dû le vaincre ! Excalibur employa toute sa force pour utiliser les connaissances du grimoire que le maître de l'armurerie lui avait donné.

Son adversaire avait commencé à le frapper durement. Il avait ensuite réussit à augmenter son cosmos de façon incroyable. Excalibur n'avait aucune chance. Et pourtant, au moment où l'ange voulu lui porter un autre coup, Excalibur prit son élan. Il sauta pied à terre, dans les air et plongea sur l'ange. Ses coups de pied ne pouvaient plus être stoppé par l'adversaire. Finalement, le dernier coup envoya l'ange au loin.

Excalibur fut le premier étonné. Le grimoire renfermait en effet de grands pouvoir à qui sait s'en servir.

Alors que le jeune apprenti pensait qu'il irait remercier le maître bientôt, un homme applaudit :
- Bravo à toi, noble guerrier. Je n'ai pas pu te donner ce message, car tu combattait. Mais lis-le vite et va aux thermes avant de te rendre au temple des oracles.

C'était un messager. Excalibur lu le message que tous les chevaliers avaient reçu.
Il couru aux thermes.

Thermes : carpe diem / La purification.

Le Temple des Oracles / [Quête] L'oublié des Dieux : Une mystérieuse hécatombe.

Guilgamesh avait choisi de rester pour garder le Parthénon. Il ne s'agissait pas de laisser la créature tuer d'autres chevaliers ou d'autres apprentis.

Un très jeune ange chargea comme un malade, mais Guilgamesh le frappa. D'un seul coup de poing, l'ange fut propulsé. Hélas pour lui, sa chute devait être mortelle.

Puis, ce fut le tour d'un marina. Le petit roi fit exploser son cosmos et envoya le marina rejoindre les eaux de son dieux.

Mais au moment où il combattait un autre ange, sa concentration fut perturbée. Il avait un mauvais pressentiment. L'ange en profita pour l'assommer. Guilgamesh partit se soigner. Assis sur son lit, il ferma les yeux. Enkidou lui avait apprit comment parler par transmission de pensées.

Il songeait à Étana et à Muichkine.

[forum général] / Thessalonique / [Quête] L'oublié des dieux : La grande traversée

Armurerie / Le cadeau.

L'armure enfermée dans une petite boite attendait son destinataire. Après avoir enfin trouvé son futur porteur, Excalibur posa la boite et attendit qu'il termine ses combats.

Il aurait voulu rejoindre ceux qui étaient partis en quête. Mais le bateau avait quitté le port bien avant.

Il rejoignit le futur porteur de l'armure de garde et lui tendit le papier. Celui-ci était fort surpris.
- C'est pour vous, Guilgamesh. Les oracles ont décidé de vous récompenser pour avoir protéger le Litochoro autrefois, et avoir choisi de rester pour défendre le Parthénon aujourd'hui. Votre dévouement est récompensée par cette armure de garde.

Finalement, il se posta en défense en parcourant le précieux grimoire du vieux maître.

Guilgamesh s'était bien défendu. Depuis qu'il avait repris la défense, il avait combattu 5 guerriers. Mais il n'arrivait plus à se concentrer comme il le fallait. Il avait besoin d'un peu de repos. Il se dirigea vers le sanctuaire, bien décider à méditer sur ses dernières défaites.

La taverne / LA TAVERNE DES CHEVALIERS.

La défense. Excalibur la tenait depuis longtemps, maintenant. Toujours avec le livre du vieux maître, il combattait. Il réussit à battre un spectre. Bien que ce dernier fut difficile. Il se mit à pleuvoir. Excalibur tendit les mains. Il utilisa l'eau de la pluie pour affaiblir son adversaire. Il avait réussi à maîtriser l'eau.
Mais alors qu'il pensait avoir le dessus, un ange qui l'avait engagé aussitôt après le mis à terre.

Un peu déçu, il devait encore s'entrainer. C'est à ce moment là qu'il reçu la visite d'un messager qui lui remis un parchemin signé du diplomate Enkidou.

Il se rendit donc au rendez-vous.

[RP] :: Hors des enceintes - Lieux divers / Les spectres demandent de l'aide : En route pour le Nékyomanteion !

Thermes : carpe diem / La purification.

Guilgamesh avait fini par revenir sur la défense. Depuis quelques temps, il n'était pas tranquille. Que pouvait faire son ami Enkidou dans les enfers ? Il n'aimait vraiment pas le savoir si près du royaume des morts. Il serra la pierre qu'il gardait sur son cœur et qui parlait de leur destin...

C'est alors qu'il vit revenir le groupe qui était parti au Nékyomanteion. Guilgamesh chercha du regard Enkidou. Il n'était pas là. Hizumi lui raconta que lui, Jolan et Excalibur étaient restés sur place, mais que la mission avait réussie. Hizumi lui parla aussi de la bataille. Il montra Eneos qui était dans un sale état. Il fallait vite le soigner.

Guilgamesh n'était qu'à moitié rassuré. Au moins, Enkidou était en vie et deux guerriers étaient à ses côtés. Hizumi ne voulu pas inquiéter d'avantage Guilgamesh et lui demanda de soigner Eneos.

Guilgamesh prit le jeune guerrier et le porta à la tente réservée pour les premiers secours. Certains guerriers pouvaient ou non le suivre. Chacun était libre d'agir à leur guise, pour l'instant.

Hors des enceintes - Lieux divers / Eneos à la recherche de la rédemption.

Raskolnikov de retour au sanctuaire et après avoir quitté ses compagnons d'armes, retraça son départ du Nékyomanteion. Il avait laissé son supérieur diplomate dans les mains glaciales et sans pitié de Discordia et il sentait que quelque chose ne tournait pas rond.... Tout d'un coup, il vit s'avançait devant lui Excalibur qui semblait plutôt affolé.
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- Qu'est ce que tu a l'ami ? Tu m'as l'air bien anxieux... s'inquiéta Raskolnikov