Une pluie glacial et une nuit sombre

Une pluie glacial tombée, sous ce ciel couvert et menaçant le sanctuaire
gisait. Les Guerriers du sanctuaire montaient quand même la garde,
leurs courages et leurs dévotions avaient plus d'une fois sauvé ce lieu
sacré. Une groupe de garde était posté au niveau de la porte sacré du
sanctuaire, ils c'étaient abrités sous un toit de poste de garde. Pour les
gardes, personne ne pourrait réussir à détruire la porte sans être un
dieu, cette porte était plus épaisse que quatre personnes réunies, et les
murs la tenant semblaient êtres taillé à même la montagne alors dans
leur ignorance les gardes laissaient la vigilance pour un jeu de dé.

« Alors Gultor!! tu joues et ne triche pas sinon je jure de sortir mon sabre
pour les règles et pour la justice d'Athéna!!hahaha »

Gultor était un homme d'une quarantaine d'année, il était de forte
carrure, ses yeux était d'un bleu limpide et son nez était un peu recourbé,
sans doute dû à une fracture, les nombreux cicatrices parsemant sa peau
indiquaient son expérience des combats, il pris les dés dans une seule
main puis il les jeta énergiquement. Les dés roulaient comme deux folles,
une fois arrêté la surprise se figea sur les visage des autres joueurs.
Gultor alors leva la tête et il fit un sourire victorieux même un peu
vaniteux. Il se leva et s'éloigna du groupe pour rejoindre un garde assis
contre la muraille, ce garde était restait sous la pluie sans se préoccupé
de sa santé et ni de son armure trempé. Gultor se mit devant lui et le
regarda avec tendresse avant de lui parlait:

« Alors mon petit!! Viens avec nous... »

Gultor attendait un mot ou même une réaction mais la personne
recroquevillé, il restait enroulé dans sa cape dans un profond silence.
Alors Gultor commença à lui expliqué que cela ne servait à rien de rester
sous la pluie en attendant un ennemi, et qu'il fallait mieux qu'il soit sous
un toit pour ce réchauffer car il serait stupide partir au combat en ayant
un rhume. Étonnement la silhouette leva la tête, mais encapuchonné son
visage restait caché dans les ténèbres.

« allez viens mon garçon!! »

Gultor tendit la main vers le garde, celui-ci l'attrapa fermement et ce qui
faillit étonné Gultor et le fit presque chuté. Une fois qu'il l'aida à l relever,
ils partirent vers l'abri. Une fois au sec et dans une chaleur agréable,
il retira son capuchon laissant apparaître son visage. Il était jeune,
mais il possédait une musculature plutôt imposante, ses muscles saillis
briller sous la danse de la flamme d'une bougie. Son regard était vif et lui
aussi possédait les yeux bleus. Après une seconde de silence, les gardes
repris leur discutions.

Gultor lui se rapprocha du jeune garçon, et lui parla:

« dit moi quelle est ton nom? »

Le jeune le dévisagea avant de lui répondre, il se nommait Oromis et
il était devenu chevalier d'Athéna après un long entraînement de maîtrise
de son Cosmos. Gultor semblait dépité, il ne savait pas qu'un chevalier
avait été envoyé pour protéger la porte. Oromis regardait avec attention
la salle où les gardes passent leur temps. Elle était plutôt douillette, un
peu délabré mais on sentait que c'était un lieu de prédilection pour les
soldats. Les meubles étaient peu nombreux mais on venait plus souvent
pour dormir ou soit pour attendre une météo plus clémente, cela se
voyait au niveau des hamacs et des nombreuses chaises, d'ailleurs une
grande partit des hamacs étaient occupés.

Oromis sentait aussi la fatigue l'inviter à un doux sommeil.

(Suite plus tard!!)

Oromis dormait paisiblement sur un siège, il se trouvait dans un recoin
de la pièce unique de ce poste de garde. Des gouttes tombaient sur le
sol sous le chevalier, fesant un bruit plutôt agréable, les larmes d'eau
tombaient de son armure de cuir et de sa cape qu'il portait toujours,
il ne voulait pas l'enlever en cas où une attaque surviendrait. Être
toujours prêt était une règle d'or pour Oromis. Il savait que pour qu'une
attaque est de grande chance de succès il fallait prendre son adversaire
au dépourvu.

Puis une goutte tomba sur le visage d' Oromis, puis deux. Les yeux
d' Oromis s'ouvrit pour voir de nombreuses gouttes tombaient du toit,
il se dressa pour les éviter puis son regard se fixa sur une coupe posé
sur le sol. Le vin fesait des ondes, plusieurs vagues concentriques partant
se fracassaient contre la parois. Il se demandait pourquoi la coupe
tremblait. Puis d'un coup, Oromis se mit à courir vers la porte, puis
arrivé devant il scruta la pierre. Rien!! Oromis se demandait s'il devenait
pas fou.

Il commençait à repartir vers l'abri, mais une vibration dans le sol le fit
trébucher. Alors il roula sur le sol pour se mettre sur le dos et pour avoir
la porte en vue. Son regard était grand ouvert, il fixait les petites fissures
qui fesaient leur apparitions sur la roche. Oromis était horrifié devant ce
spectacle, comment une tel porte pouvait être brisé? La réponse ne lui
venait pas, alors il commença à crier:

«UNE ATTAQUE!! LE SANCTUAIRE EST ATTAQUÉ!!»

Prit dans une confusion et dans un étonnement des plus chaotique les
gardes se mettait à courir de partout, certains avaient encore une coupe
à la main quand ils arrivaient devant la porte. Les hommes se mirent en
plusieurs lignes bien droites et ordonnés. Gultor donnait des ordres bref
mais précis, d'un seul mot toute les lances s'abaissèrent, créant ainsi une
véritable rempart de pique d'acier et de bois.

Oromis se trouvais dans les rangs mais sans aucune arme en main, il
se plaça au coté de Gultor, il le regarda et lui demanda pourquoi il ne
portait pas d'arme, Oromis lui avoua que les chevaliers d'Athéna ne
devaient pas porter une seule arme et que seul le puissant chevalier d'or
de la balance en aurait le droit. Il lui fit un sourire amusé avant de se
tourner vers la porte, puis il se tourna vers un soldat et lui donna un
ordre:

«Cours jusqu'au temple des oracles et dit leur que la porte sacré et
attaqué!! dépêche toi!!»

Pendant que Oromis regardait le soldat courir à en perdre haleine, un
craquement digne de la foudre de Zeus retentit. Oromis se tourna vers
la porte pour apercevoir un fissure plus grande que deux homme et elle
continuait à monter. Une angoisse le prit au ventre, l'ennemi qui se
trouvait derrière la porte devait être puissant et dans une moment où la
pierre se tut dans sa complainte de tourment, Oromis se mit à prier. Il
avait confiance en sa déesse et il savait qu'elle ne les abandonnerait pas
en plein combat.

Ces quelques secondes de paix fut un énorme soulagement pour Oromis,
et son coeur repris espoir, mais un éclair déchira le ciel avec un trait
lumineux des plus intense. La pluie leurs battaient le visage chaque soldat
regardait la porte avec angoisse mais il fesaient tous face et Oromis
savait qu'ils ne reculeraient pas quelque soit l'ennemi. Alors Oromis,
chevalier d'Athéna, avait encore moins le choix, car il devait surtout pas
salir le nom des Chevaliers d'Athéna.

Et Oromis murmura:

«Toi grande Déesse, éclaire mon chemin, repousse les ténèbres avec ton
Cosmos et que mon poing soit le représentant de ta justice.»

(suite demain!)

La pluie continuait de battre les visages des défenseurs de la porte
principale du Sanctuaire. Les éclairs qui déchiraient le ciel ne
présageaient rien de bon. Et Oromis ressentait une puissance incroyable
à l'oeuvre, la porte ne pouvait pas céder ainsi sans que un Dieu en décide
autrement. Son esprit était de plus en plus confus, ce fut Gultor qui le
remit dans une certaine tranquillité. Voir le visage de ce soldat le
remplissait de courage et de confiance en sa Déesse.

Puis Gultor cria:

«La porte va céder!!!!»

Et dans un bruit de fin du monde, la porte explosa en mille morceaux.
Des débris volés dans le ciel et ils tombaient sur la cité détruisant
maison et tuant les habitants dans leurs sommeils. Les défenseurs
étaient restés à leur poste tel des statues gardiennes. Les lignes de
lances et de boucliers fesait une rempart mais personne ne savait si
elle suffirait car dans le nuage de poussière l'ennemi avance mais qui
était cet adversaire.

Oromis fut surpris quand à la lumière des torches plusieurs armures
luisaient d'une brillances éclatantes, alors que d'autres semblaient
aspirés la lumière tel des gouffres où seul les ténèbres peuvent survivre.
Une armée de l'ennemi juré d'Athéna, Hadès, et une armée du Dieu
Zeus fesaient face au petit groupe de défenseur de la déesse Athéna.
Le désespoir se lisait sur le visage des défenseurs, leur courage fut
soufflé comme une bougie au vent capricieux du printemps.

Alors Gultor prit la parole:

«Soldat d'Athéna, je sais que nos ennemi sont plus nombreux, et je sais
qu'ils sont des chevaliers, mais ils ne sont pas immortels, ils sont fait de
chair et de sang comme nous, alors pour la déesse vous ne faiblirez pas,
à moi combattant du Sanctuaire!!»

Le visage des soldats étaient devenus enragés et emplit d'un courage
plus proche de la folie que du courage habituelle, Oromis maintenant
comprenait pourquoi Gultor avait le titre de «chef des défenses de la
porte sacré!!», il savait galvanisé ses troupes mieux que personne. Et
maintenant Gultor sonna la charge, les lances baissaient avancés vers
l'ennemi sans aucune crainte, ni peur. Ils avaient tous en tête «la victoire
ou la mort».

Oromis courait avec eux mais arrivé à quelques mètres des
premières lignes ennemi, il sauta dans les airs tel une flèche puis il
descendu au milieu des troupe des anges de Zeus. Il fit un coup de pied
circulaire pour fauché nombreux d'ennemi surpris par ça présence
(en construction!!)